![documentaliste-juridique-intelligence-artificielle-enquete](https://www.archimag.com/sites/archimag.com/files/styles/homepage-grande/public/web_articles/image/veille_juridique-documentaliste-enquete.jpg?itok=x9SofxZe ""Les documentalistes juridiques ont déjà survécu à plusieurs vagues technologiques", explique Emmanuel Barthe, documentaliste juridique et auteur du blog Precisement.org. (Freepik Premium)")
L’information juridique n’échappe pas à la "hype" IA et les promesses des outils proposés par les éditeurs font saliver les documentalistes et les veilleurs du domaine. Des voix s’élèvent également pour souligner les limites de l’intelligence artificielle appliquée à la documentation juridique.
Sur les sites commerciaux et les intranets des entreprises, l'intelligence artificielle générative redéfinit les attentes des utilisateurs.
Le Comité pour la science ouverte lance le tout premier catalogue national des logiciels libres issus de la recherche, avec déjà 1153 références. Cette initiative s’inscrit dans le Plan national pour la science ouverte pour mieux reconnaître, archiver et valoriser ces outils devenus essentiels à la production scientifique.
Les deux éditeurs réunis dans une nouvelle entité ambitionnent de devenir "le second acteur européen du marché français de la veille stratégique".
La conférence inaugurale de i-Expo / Documation a réuni des spécialistes de la veille autour du thème de l’hybridation de leur métier avec l’intelligence artificielle.
Depuis plusieurs années, Coexel intègre l'intelligence artificielle dans sa plateforme de veille mytwip, avec une approche pragmatique visant à optimiser le travail des veilleurs. Cette avance technologique s'est concrétisée par le dépôt d'un brevet dès 2016, enrichi depuis, garantissant une exploitation innovante de l'IA pour la collecte, l'analyse et la diffusion de l'information stratégique. Explications.
L’intelligence artificielle (IA) et l’IA générative transforment depuis plus de deux ans nos outils professionnels. Un à un, les éditeurs de solutions ont rapidement embarqué ces technologies et proposent désormais des expériences de travail inédites au sein de leurs plateformes. Mais de la fraude documentaire à la veille, en passant par la gestion électronique de documents (Ged) et les digital workplaces, comment les éditeurs ont-ils abordé ce virage technologique ? Certains s’appuient sur des modèles d’IA à usage général, d’autres ont misé sur le rachat de pépites ou sur des partenariats, quand quelques-uns ont fait le choix de développer leur IA en interne. Des choix tout sauf anodins, quand la question de la souveraineté de l’information et des données se pose.
