Salons Solutions 2011 : l’agilité Elo

Jérôme André, directeur des ventes Europe de l’Ouest d’Elo. MR/Archimag

 

C’est en tant que nouveau directeur des ventes Europe de l’Ouest d’Elo Digital Office que Jérôme André se présente sur Salons Solutions, ou plus exactement InfoToDoc. Pour lui, la tendance est au «logiciel agile», bien plus orienté vers l’utilisateur et son «bureau étendu» que vers le serveur. Un système «agile» serait aussi un avantage pour le DSI et permettrait un très court retour sur investissement – moins de six mois.

intégration dans Microsoft Office

Elektronischer Leitz Ordner ou Elo est une société allemande – la famille Leitz est un grand nom de l’industrie d’outre-Rhin. Elo, forte aujourd’hui de 320 personnes, a été créée en 1996. Les logiciels phare de la gamme ECM sont EloOffice, EloProfessional et EloEnterprise, dernier né, en 2004. Leur intégration dans Microsoft Office est annoncée sur le salon. D’autres produits viennent compléter la gamme, comme notamment DocXtractor, pour le traitement des formulaires ou des factures, désormais en version 4.1.

Si Elo a démarré en visant la cible des très petites entreprises et des professions libérales, son ambition s’est peu à peu portée sur des structures plus grandes, voire très grandes - par exemple son client EADS compte 10 000 utilisateurs actifs -, avec des prix qui se veulent très attractifs.

Elo est présente en Europe, en Asie et en Australie et s’appuie sur un système de vente indirecte, avec 450 partenaires, dont notamment en France DMS (Document Média Système) (Saint-Avertin, Indre-et-Loire) également présent sur le stand.

Stand C44

Les podcasts d'Archimag
La mise à disposition des décisions de justice en Open Data a vu le jour grâce à la loi pour une République numérique votée en 2016. Les articles 20 et 21 prévoient la mise en open data des quatre millions de décisions de justice produites chaque année par les tribunaux français. Camille Girard-Chanudet est chercheuse en sociologie au sein du Centre d’étude des mouvements sociaux. En 2023, elle a soutenu une thèse devant l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) : "La justice algorithmique en chantier, sociologie du travail et des infrastructures de l’intelligence artificielle". Dans ce cadre elle a rencontré les équipes de la Cour de cassation qui procèdent à l’anonymisation des décisions de justice.