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L'Association des archivistes français célèbre ses 120 ans

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    l'AAF regroupe regroupe plus de 3000 professionnels des archives du secteur public comme du secteur privé (Freepik Premium)
  • Depuis plus d'un siècle, l'AAF se donne pour objectif de "de faire entendre la voix de la profession face aux défis qui se présentent à elle".

    Le 10 avril 1904, l'archiviste-paléographe Henri Stein convoquait ses collègues à une « réunion générale des archivistes français » à Paris dans les locaux de l’École des sciences sociales. A l'ordre du jour : la création d’une « association amicale professionnelle des archivistes français ». L'AAPAF voyait le jour et se donnait pour objectif de "de faire entendre la voix de la profession face aux défis qui se présentent à elle".

    En 1969, l'AAPAF changeait de nom pour devenir Association des archivistes français (AAF). Aujourd'hui, l'association regroupe plus de 3000 professionnels des archives du secteur public comme du secteur privé.

    Publications, journées d'étude et formation continue

    1904-2024, ce sont 120 années de promotion de la fonction archives à travers des publications, des journées d'étude et de la formation continue des archivistes. Une action qui se décline également à l'échelle internationale avec la signature de la Déclaration uni­­ver­­selle des archi­­ves. L’AAF pro­­meut notamment le Code de déon­­to­­lo­­gie énoncés par le Conseil International des Archives.

    L'Association des archivistes français est dirigée par Louis Faivre d’Arcier qui en a été élu président pour la période 2022-2025. Elle organisera son quatrième Forum en 2025 à Rennes.

     

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    La mise à disposition des décisions de justice en Open Data a vu le jour grâce à la loi pour une République numérique votée en 2016. Les articles 20 et 21 prévoient la mise en open data des quatre millions de décisions de justice produites chaque année par les tribunaux français. Camille Girard-Chanudet est chercheuse en sociologie au sein du Centre d’étude des mouvements sociaux. En 2023, elle a soutenu une thèse devant l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) : "La justice algorithmique en chantier, sociologie du travail et des infrastructures de l’intelligence artificielle". Dans ce cadre elle a rencontré les équipes de la Cour de cassation qui procèdent à l’anonymisation des décisions de justice.

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