Topsy archive et indexe tout Twitter depuis 2006

Page d'accueil de l'application en ligne gratuite Topsy topsy

 

L'application Topsy est dotée de puissantes fonctions d'indexation qui permettent de mettre la main sur les tweets les plus pertinents.

Près de 500 millions de tweets sont produits chaque jour soit des dizaines de milliards depuis la création de Twitter en mars 2006. Cette production collaborative mondiale propose le pire et le meilleur. Le pire avec des messages personnels affligeants ; le meilleur avec un travail de veille réalisé par des internautes bien informés.

Pour s'y retrouver dans un tel brouhaha, la société Topsy archive et indexe tous les tweets depuis 2006. Son application en ligne est extrêmement simple à utiliser et redoutablement efficace : il suffit d'entrer un terme de requête pour voir apparaître tous les tweets contenant ce terme.

Mais l'intérêt principal de Topsy réside dans ses extraordinaires capacités de tri : il est possible de restreindre la recherche à une période donnée, de sélectionner une langue de production, et de choisir un tweet textuel ou un tweet enrichi d'un lien ou d'un objet multimédia (photo, vidéo). Topsy propose également de repérer les "influencers" c'est-à-dire les twittos qui sont le plus retweetés.

Une version professionnelle (Analytics Pro) est également disponible gratuitement pour une période d'essai de 14 jours.

 

 

 

Les podcasts d'Archimag
La mise à disposition des décisions de justice en Open Data a vu le jour grâce à la loi pour une République numérique votée en 2016. Les articles 20 et 21 prévoient la mise en open data des quatre millions de décisions de justice produites chaque année par les tribunaux français. Camille Girard-Chanudet est chercheuse en sociologie au sein du Centre d’étude des mouvements sociaux. En 2023, elle a soutenu une thèse devant l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) : "La justice algorithmique en chantier, sociologie du travail et des infrastructures de l’intelligence artificielle". Dans ce cadre elle a rencontré les équipes de la Cour de cassation qui procèdent à l’anonymisation des décisions de justice.