Publicité

Refresh, le numérique responsable selon Cap Digital

  • numerique_environnement.jpg

    Refresh-numerique-responsable-Cap-Digital
    Le numérique représente entre 3 à 4 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde (Freepik Premium)
  • Le pôle de compétitivité dédié à l'innovation numérique lance un programme à destination des start up franciliennes.

    Le numérique représente aujourd'hui entre 3 à 4 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde et 2,5 % de l’empreinte carbone en France (1). Selon l'ADEME, "les émissions en gaz à effet de serre du numérique pourraient augmenter de manière significative si rien n’est fait pour en réduire l’empreinte : + 60 % d’ici à 2040, soit 6,7 % des émissions de GES nationales".

    Un constat qui a conduit Cap Digital à lancer un programme numérique responsable à destination des start up franciliennes. Baptisée Refresh, cette initiative propose aux jeunes pousses un parcours sur une durée de dix jours répartis sur six mois. Au programme, une mise à niveau et des ateliers organisés par des experts qui présenteront des outils dédiés au calcul de l'impact environnemental du numérique.

    Le retour sur investissement n'est pas oublié : "l’engagement dans la responsabilité numérique booste l'attractivité des talents et la réputation de son entreprise sur un marché ultra concurrentiel" explique Cap Digital.

    Le programme Refresh est facturé 1 600 euros (HT) avec une date limite de candidature fixée au 31 janvier 2025.  


    (1) Sources : The Shift Project, Green IT

    À lire sur Archimag
    Les podcasts d'Archimag
    La mise à disposition des décisions de justice en Open Data a vu le jour grâce à la loi pour une République numérique votée en 2016. Les articles 20 et 21 prévoient la mise en open data des quatre millions de décisions de justice produites chaque année par les tribunaux français. Camille Girard-Chanudet est chercheuse en sociologie au sein du Centre d’étude des mouvements sociaux. En 2023, elle a soutenu une thèse devant l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) : "La justice algorithmique en chantier, sociologie du travail et des infrastructures de l’intelligence artificielle". Dans ce cadre elle a rencontré les équipes de la Cour de cassation qui procèdent à l’anonymisation des décisions de justice.