Trois ans après la crise sanitaire qui a confiné des millions de salariés chez eux, certaines habitudes professionnelles sont restées. A commencer par les nombreuses applications que nous utilisons quotidiennement : gestion électronique de documents, signature électronique, bureaux virtuels, digital workplaces... Autant d'outils qui produisent des données et qu'il s'agit d'archiver en respectant les normes en vigueur : NF 461, NF 42013, etc...
Lors de la première journée des Salons Solutions, l'éditeur et opérateur d'archivage électronique Spark Archives a rappelé une réalité : une entreprise doit être en mesure de prouver que son archivage électronique a été réalisé dans le respect de la réglementation. Cela passe, entre autres, par la garantie de l'intégrité du document et de sa pérennité. Tout en se prémunissant contre les cyberattaques : celles-ci ont augmenté de 19 % en France, 26 % en Europe et 38 % à l'échelle mondiale (source Checkpoint).
"Spark Archives propose un accompagnement sur l'ensemble du cycle de vie du document et pas seulement sur l'archivage" explique l'éditeur ; "nous le faisons avec des intégrateurs parmi les plus connus du marché." La prestation de mise en oeuvre est organisée autour de quatre étapes : une approche adaptée aux besoins du client, un déploiement des référentiels clé, une reprise des données, et une formation à l'attention des utilisateurs.
Intégration à des systèmes tiers
Egalement présent sur Salons Solutions, DocProcess propose sa solution DX Archive qui s'intègre à des systèmes tiers : ERP, CRM, autres outils d'entreprise personnalisés. Mais aussi les plateformes PDP (plateformes de dématérialisation partenaire de l’administration) dédiées à la facturation électronique. "Entre 5 et 10 % du coût de la facturation électronique est lié à l'archivage électronique" précise Patrice Vidal.
A ses yeux, le mode SaaS est incontestablement l'avenir de l'archivage électronique. A ce jour, les clients demandent très majoritairement une infrastructure partagée : 85 % des demandes contre 15 % de clients adeptes d'une infrastructure exclusivement dédiée.