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Jamespot part à la conquête du marché espagnol

  • L’éditeur français de solutions de digital workplace vise notamment le segment des ETI et des PME qui présente "un très fort potentiel de croissance".

    Dix-huit ans après sa création, Jamespot se lance sur le marché espagnol. Un terrain que l'éditeur français de solutions de digital workplace connait déjà : ses logiciels équipent des entreprises françaises qui opèrent en Espagne notamment Renault et Totem une filiale européenne d'Orange.

    Jamespot vise particulièrement le segment spécifique des entreprises de taille intermédiaire et des PME qui présente "un très fort potentiel de croissance" selon l'éditeur. Une équipe hispanophone de quatre personnes sera dirigée par Eric Bounyavath : "l’ouverture du marché espagnol est plein de promesses pour le développement commercial de Jamespot, avec un marché acheteur de réseau social collaboratif et d’intranet et sur lequel il n’y a pas tant de concurrence".

    Partenariats avec des ESN et des cabinets de conseil

    Le déploiement se fera sous la forme de partenariats avec des entreprises locales de confiance : cabinets de conseil en transformation digitale, entreprises de services du numérique.

    Fondé en 2005, Jamespot a procédé à 6 acquisitions depuis 2014 (Human Knowledge, Sonetin, Yoolink, Open Agora, Seemy et Ftopia) et revendique plus de 300 clients, soit plus de 400 000 utilisateurs en France et à travers le monde.

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    La mise à disposition des décisions de justice en Open Data a vu le jour grâce à la loi pour une République numérique votée en 2016. Les articles 20 et 21 prévoient la mise en open data des quatre millions de décisions de justice produites chaque année par les tribunaux français. Camille Girard-Chanudet est chercheuse en sociologie au sein du Centre d’étude des mouvements sociaux. En 2023, elle a soutenu une thèse devant l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) : "La justice algorithmique en chantier, sociologie du travail et des infrastructures de l’intelligence artificielle". Dans ce cadre elle a rencontré les équipes de la Cour de cassation qui procèdent à l’anonymisation des décisions de justice.