Deux nouvelles licences nationales rejoignent le projet Istex

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    Le projet Istex s'enrichit de deux nouveaux corpus (Archimag)
  • Plusieurs centaines de titres publiés par Oxford University Press et Institute of Physics sont désormais accessibles via le projet Istex.

    Le projet Istex s'enrichit de deux nouveaux corpus documentaires. Le ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche a récemment signé un contrat avec deux poids lourds de l'édition universitaire : Oxford University Press et Institute of Physics. Ces deux nouvelles licences nationales permettent aux usagers d'accéder aux archives de plus de 250 titres publiés par  l'éditeur britannique Oxford University Press : soit des collections de périodiques couvrant la période 1833-2010 dans les domaines des sciences humaines, du droit, des sciences et de la médecine.

    Quant au contrat signé avec Institute of Physics, une société savante britannique fondée au 19èmesiècle, il porte sur 110 titres de revues éditées entre 1874 et 2012 principalement dans le domaine des sciences physiques. Ces contenus sont accessibles à partir des plateformes des éditeurs après déclaration des adresses IP des établissements intéressés via le site Licences nationales.

    Le projet Istex a pour ambition d'offrir à la communauté française de la recherche des ressources documentaires universitaires : bases de données, archives de revues, corpus de textes... Il s'inscrit dans le cadre du programme "Investissements d'avenir" lancé par le ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche.

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    La mise à disposition des décisions de justice en Open Data a vu le jour grâce à la loi pour une République numérique votée en 2016. Les articles 20 et 21 prévoient la mise en open data des quatre millions de décisions de justice produites chaque année par les tribunaux français. Camille Girard-Chanudet est chercheuse en sociologie au sein du Centre d’étude des mouvements sociaux. En 2023, elle a soutenu une thèse devant l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) : "La justice algorithmique en chantier, sociologie du travail et des infrastructures de l’intelligence artificielle". Dans ce cadre elle a rencontré les équipes de la Cour de cassation qui procèdent à l’anonymisation des décisions de justice.

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