Publicité

La France se classe au 4ème rang mondial du bien-être numérique

  • internet_classementmonde.jpg

    (Pixabay / ID 8212733)
  • Les pays européens figurent parmi les pays les plus avancés en matière d'accès aux services numériques et de législation sur la protection des données personnelles.

    Les Français l'ignorent probablement : ils font partie des internautes qui jouissent d'un haut niveau de qualité de services numériques. Selon le Digital Quality of Life Index 2020 (publié par l'éditeur de solutions VPN Surfshark), la France se classe au quatrième rang mondial du bien-être numérique.

    Ce classement est calculé chaque année à partir de cinq indicateurs : l'accessibilité à internet, la qualité de la connexion à Internet, le développement de l’infrastructure, l'avancement de l’administration électronique, et la cybersécurité. L'édition 2020 de cette étude porte sur 85 pays représentant 6,3 milliards de personnes soit 81 % de la population mondiale.

    Danemark, Suède, Canada, France, Norvège

    Selon ce classement, une première tendance continentale se dégage : 7 des 10 pays dotés du plus haut niveau de vie numérique se trouvent en Europe. Sans surprise, les pays scandinaves occupent les deux premières places : le Danemark et la Suède précèdent le Canada et la France. Avec un indice de 0,77 sur 1, notre pays devance la Norvège.

    La France doit son bon score à plusieurs critères : un coût raisonnable d'accès à internet pour les utilisateurs, une législation active de protection des données et à l'avancement de son administration électronique. En revanche, elle pêche par un score médiocre dans le domaine de la stabilité des connexions internet (73ème sur 85 pays).

    À lire sur Archimag
    Les podcasts d'Archimag
    Êtes-vous prêts à renoncer à des services numériques ou à vos appareils électroniques pour le bien commun ? Face à l'urgence climatique, notre rapport au progrès et à la technologie est souvent remis en question. Archimag Podcast a rencontré Alexandre Monnin, philosophe, directeur du master Sciences, Stratégie et Design pour l’Anthropocène à l’ESC Clermont Business School et auteur de l'ouvrage "Politiser le renoncement", aux Éditions Divergences. Il est aussi co-initiateur du courant de la redirection écologique, dont il nous explique le principe.
    Publicité