Nous avons constaté que les utilisateurs effectuaient une recherche dans le catalogue, puis devaient ensuite consulter séparément nos bases de données en ligne. Avec WorldShare, l'expérience de recherche est unifiée. De plus, l'adoption de WorldShare a eu pour effet de doper l'utilisation de notre collection papier et de nos ressources électroniques.
Vicky Worsfold, Responsable de l'accès sur site, National Art Library, Victoria and Albert Museum
Au Royaume-Uni, la National Art Library du Victoria and Albert Museum est dotée d'une collection permanente de plus de 850 000 ouvrages imprimés et manuscrits. Elle offre aussi un accès à plusieurs milliers de titres électroniques : journaux, livres et ressources en ligne. Si la collection matérielle peut être consultée par tous, les utilisateurs ont de plus en plus tendance à accéder aux documents électroniques plutôt qu'aux originaux.
Nous utilisons assez souvent les documents électroniques à la place des originaux, pour ne pas avoir à y accéder dans le magasin, car bon nombre de nos collections sont extrêmement précieuses, fragiles et rares, explique Vicky Worsford, la Responsable de l'accès sur site.
Le système de gestion de bibliothèque installé localement a été personnalisé en profondeur pour s'adapter à la grande variété des formats de document disponibles. Cela a donné lieu par le passé à des problèmes en matière d'accès et de simplicité de recherche. Pour trouver l'élément recherché, les utilisateurs devaient effectuer une recherche dans le catalogue de la bibliothèque, puis parcourir nos bases de données en ligne.
Depuis que la bibliothèque a lancé les Services de gestion WorldShare® (WorldShare) et le service de recherche pour l'utilisateur final associé, WorldCat® Discovery, les utilisateurs peuvent lancer une recherche unique sur tous les formats et toutes les collections.
Découvrez la vidéo en français de Victoria and Albert Museum
Nous avons une confiance et un intérêt marqués pour OCLC en tant qu'organisation bibliographique axée sur les données. Nous travaillons d'ailleurs ensemble depuis 30 ans, et cela est très important. De plus, OCLC se trouve à la pointe de l’évolution des données bibliographiques vers de nouveaux formats.
Elizabeth James, Directrice des collections de la National Art Library, Victoria and Albert Museum
Grâce à WorldShare, les membres du personnel de la National Art Library collaborent avec d'autres bibliothèques à travers le monde et gagnent du temps en partageant leur charge de travail.
« Les opportunités et les possibilités de collaboration à tous les niveaux avec OCLC représentent une part importante de notre approche en tant que membre de la coopérative », explique Elizabeth James, Directrice des collections de la National Art Library.
« Il y a tout d'abord la base de données WorldCat, qui rend nos notices accessibles pour les autres bibliothèques et les utilisateurs finaux, et qui nous permet d'utiliser les notices sans avoir à recréer quoi que ce soit, ou presque. Et en tant que client de WorldShare, nous n'avons même pas à les importer. Elles sont directement accessibles! »
La National Art Library collabore depuis de nombreuses années avec OCLC. Elle est bien représentée et intégrée dans l'univers des institutions bibliographiques et leurs collections. Elizabeth James apprécie l'investissement d'OCLC dans l'avenir des services de métadonnées. « Nous savons qu'ils étudient les formats, etc. Nous pouvons participer à cette aventure avec OCLC sans trop nous faire de souci en tant que bibliothèque individuelle », ajoute-t-elle.
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