Pebble, la montre à l’heure des réseaux sociaux

Ces montres-là ne permettent pas de se connecter à Facebook Vincen-t

 

La plateforme de levée de fonds Kickstarter a réuni neuf millions de dollars pour le projet Pebble, la montre 3.0.

Kickstater, plateforme dédiée au projets créatifs, repose sur le principe du financement collaboratif. Des créateurs proposent leurs idées, et ce sont des particuliers qui investissent pour conduire à l’aboutissement de leurs projets.

Afin de mettre au point leur objet, les créateurs de la montre Pebble souhaitaient bénéficier d’un financement à hauteur de cent mille dollars. Cependant, en s’inscrivant sur le site Kickstarter, ils étaient loin de s’imaginer que leur idée génèrerait un engouement exceptionnel. C’est ainsi qu’ils ont réussi à réunir la somme de… neuf millions de dollars.  

Il faut dire que leur projet est réellement innovant. Doté d’un design très sobre mais élaboré, ce produit est un réel outil d’interaction. Pebble, cette montre nouvelle génération se connecte aux smartphones (via le bluetooth) et permet la lecture des statuts Facebook, des tweets, des e-mails... Les utilisateurs auront même la possibilité de lire leurs SMS ou d’écouter de la musique sans sortir leurs téléphones. Révolutionnaire ! Des applications dédiées à ce produit sont également mises au point, permettant de mesurer sa vitesse à vélo, ou de connaître son score au golf.

Pour avoir cette montre, il faut financer ce projet à hauteur de 115 dollars. La livraison est prévue pour le mois de septembre. A vos montres ! 

Une petite démonstration de cette montre nouvelle génération :

Vidéo publiée sur YouTube le 12 Avril 2012 par IloPTePs

Les podcasts d'Archimag
Rencontre avec Stéphane Roder, le fondateur du cabinet AI Builders, spécialisé dans le conseil en intelligence artificielle. Également professeur à l’Essec, il est aussi l’auteur de l’ouvrage "Guide pratique de l’intelligence artificielle dans l’entreprise" (Éditions Eyrolles). Pour lui, "l’intelligence artificielle apparaît comme une révolution pour l’industrie au même titre que l’a été l’électricité après la vapeur".