C’est le Code civil qui le dit : “La copie fiable a la même force probante que l’original” (article 1379). Oui, mais dans quelles conditions faut-il réaliser cette copie ? Là encore le législateur répond : une copie est fiable si elle résulte “soit d'un procédé de reproduction qui entraîne une modification irréversible [de son] support ; soit, en cas de reproduction par voie électronique, d'un procédé [répondant à certaines] conditions” (décret du 5 décembre 2016).
Et l’on peut bien sûr aller jusqu’à la destruction des originaux papier.
Cependant, ce droit au numérique n’est pas un droit de tout faire : il faut notamment veiller à la bonne gestion des données personnelles.
Pour les entreprises concentrées sur leurs activités premières, difficile de réaliser une veille juridique et de penser aux répercussions des lois et règlements sur leur système d’information. En revanche, c’est inscrit dans l’ADN de la Branche transformation digitale de PwC qui offre aussi ce type d’apport aux clients qu’elle conseille.
L’agilité des start-up
On peut donc désormais laisser libre cours à l’innovation digitale. Finies les vieilles habitudes liées au papier, notamment les bons de commande et les factures transitant par courrier et qu’il fallait numériser pour intégrer dans une Ged. Pour certaines entreprises, le digital était déjà une obligation au moins partielle, par exemple dans les échanges entre la grande distribution et ses fournisseurs.
Il s’agit désormais de faire de cette obligation une opportunité. Si la dématérialisation génère plus d'efficacité, de productivité et de sécurité, le digital doit permettre d’avancer vers plus d’innovation et de valeur ajoutée : à vous l’agilité des start-up !
Mais plus facile à dire qu’à faire. Un business model qui a longtemps fait ses preuves peut avoir un effet d'oeillères quand il est question de faire émerger de nouveaux cas d’usage, détecter de nouveaux clients, leur proposer des vecteurs de commercialisation inédits.
De plus, l’économie digitale véhicule des concepts et des technologies qui peuvent paraître obscurs. Cloud ? Big data ? Approche "user centric" ? Rares sont les entreprises qui possèdent en interne toutes les compétences pour les maîtriser et parvenir à les intégrer dans leur démarche quotidienne.
Instiller le changement
La révolution qui semble nécessaire dans l’entreprise laisse alors craindre de devoir tout balayer au risque de tout compromettre. Or, la transformation peut s’opérer avec méthode pour écouter une ambition, coconstruire une stratégie, accompagner le changement.
L’appel à une aide extérieure est alors utile. C’est la proposition de la Branche transformation digitale de PwC. Ses équipes de spécialistes savent instiller le changement autant dans les business models que dans les organisations elles-mêmes et leur fonctionnement.
Dans un contexte collaboratif, elles apportent de l’homogénéité dans les process et les outils. Et cette disruption remporte d’autant plus l’adhésion qu’elle s’appuie sur une profonde connaissance des secteurs et les métiers.