[Avis d'expert] Même si elle prend de plus en plus de temps, la veille reste une opération stratégique dont les organisations ne mesurent pas pleinement l’importance. Beaucoup se contentent d’un bricolage manuel, volontiers délégué à tous les collaborateurs de l’entreprise, faute de ressources disponibles. La veille doit pourtant prendre ses distances avec l’amateurisme. L’objectif étant que le veilleur soit certain d’avoir entre les mains toutes les sources d’informations pertinentes et qu’il puisse enfin se concentrer sur l’analyse de sa veille.
Des technologies adaptées à chaque besoin
Car pour réaliser une bonne veille, rappelons que le triptyque gagnant c’est : les bons contenus, les bonnes technologies et l’expertise humaine. Et si cette expertise n’est pas disponible en interne, il ne faut surtout pas hésiter à aller la chercher auprès d’un professionnel. Quant aux technologies utilisées, elles doivent être adaptées aux besoins réels de l’organisation ou du service concerné, et aux problématiques qu’ils rencontrent : e-réputation, veille concurrentielle, recherche de données d’entreprises, veille médias et réseaux sociaux, etc.
La chaîne de valeur de la veille
Mettre en oeuvre une veille efficace, c’est aussi ne pas avoir à gérer la prise d’abonnements auprès de la presse payante. C’est également multiplier les sources, gagner du temps, de l’argent et ne plus se soucier de la gestion des droits d’auteur. « L’originalité de notre position réside dans le fait que nous proposons des solutions de veille sur mesure, avec ou sans service additionnel », explique Jean-Christophe Lahary, directeur général de LexisNexis BIS France.
La bonne information n’est pas forcément visible
« Du licensing des contenus en amont, jusqu’au partage final de l’information, en passant par son enrichissement, nous nous occupons de tout », poursuit Anna Sibai, responsable licensing chez LexisNexis BIS. Trouver les bons contenus, les sources de données adéquates, c’est dénicher les informations que les veilleurs ne vont pas avoir à disposition sur Internet. LexisNexis BIS réunit ainsi des sources qualifiées, balaye les grands hebdos, la presse professionnelle, mais aussi des médias moins visibles adressant certains secteurs d’activités spécifiques, des lettres d’informations qui ne sont pas disponibles en ligne ou encore des contenus issus du web qui ne sont pas sous licence et qui ont pourtant de la valeur. Sans oublier les contenus en provenance des réseaux sociaux, les blogs et les forums. Il y a énormément de sujets et de secteurs d’activités à propos desquels les informations les plus intéressantes sont issues des blogs ou des forums, et se perdent au gré des échanges. « Une plateforme est alors nécessaire pour agréger et gérer l’ensemble de ces sources », ajoute Anne Sibai.
L’enrichissement, une étape indispensable
LexisNexis BIS s’attache également à ce que toutes les informations soient normalisées et finement catégorisées. « Quand nous recevons des contenus de nos partenaires, nous les convertissons et les normalisons, puis nous ajoutons des métadonnées afin de mieux les identifier : date, nom de l’auteur, objet de la publication, secteur d’activité, etc. », explique Marie-Jeanne Morvan, responsable normalisation et enrichissement des contenus chez LexisNexis BIS. « Ensuite, nous nous attaquons aux documents eux-mêmes avec nos technologies d’analyse sémantique. Plus de 6 000 catégories de documents (rapport, opinion, bulletin, article, news négatives, etc.) ont été créées, et 9 langues sont prises en charge ». Cette analyse permet de faire un premier tri, avant d’ajouter l’expertise humaine.
Car pour avoir de la valeur, toute veille doit être interprétée et analysée.
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