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Sindup décroche 500 000 euros auprès de BPIfrance

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    Sindup souhaite se développer sur plusieurs continents (Sindup)
  • L'éditeur français de logiciels dédiés à la veille stratégique souhaite renforcer ses équipes R&D et se développer à l'international.

    Bonne nouvelle pour Sindup : l'éditeur de logiciels dédiés à la veille stratégique vient d'obtenir un prêt de 500 000 euros auprès de BPIfrance. Cette somme lui permettra d'avancer sur plusieurs chantiers qui touchent aussi bien à la technologie de sa plateforme de veille qu'à son développement commercial.

    Pour Mickaël Réault, fondateur et dirigeant de Sindup, "ce financement va nous permettre de diversifier nos investissements en R&D et mettre un coup d'accélérateur notamment dans notre développement à l'international".

    Investir dans l'intelligence artificielle

    Dès cet autome, l'éditeur va procéder au lancement de sa première application (Androïd et iOS) Sindup. Objectif : permettre aux utilisateurs d'accéder à la plateforme de veille en situation de mobilité. A plus long terme, Sindup souhaite investir dans sa R&D notamment dans le domaine de l'intelligence artificielle "véritable avantage compétitif dans les prises de décision". La recherche devrait se concentrer sur le machine learning afin de parvenir à une qualification automatique des informations collectées.

    Le volet commercial n'est pas oublié. Après avoir ouvert un bureau à New York en 2016, Mickaël Réault souhaite désormais se développer au Canada, en Europe, en Afrique et en Asie.

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    La mise à disposition des décisions de justice en Open Data a vu le jour grâce à la loi pour une République numérique votée en 2016. Les articles 20 et 21 prévoient la mise en open data des quatre millions de décisions de justice produites chaque année par les tribunaux français. Camille Girard-Chanudet est chercheuse en sociologie au sein du Centre d’étude des mouvements sociaux. En 2023, elle a soutenu une thèse devant l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) : "La justice algorithmique en chantier, sociologie du travail et des infrastructures de l’intelligence artificielle". Dans ce cadre elle a rencontré les équipes de la Cour de cassation qui procèdent à l’anonymisation des décisions de justice.

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