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Une 14ème place très moyenne pour Paris sur le marché mondial des start up

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    Paris gagne quatre places par rapport à l'année 2024 (Freepik Premium / rawpixel.com)
  • La capitale française reste en deuxième partie de tableau dans le classement international des jeunes pousses loin derrière les villes anglophones.

    La Silicon Valley, New York et Londres, tel est le podium des trois premiers écosystèmes les plus dynamiques pour les start up. Selon l'édition 2024 du Global Startups Ecosystem Report, ce classement demeure inchangé depuis 2020. Malheureusement, Paris n'émarge qu'à la 14ème place alors qu'elle se classe deuxième à l'échelle européenne. Un lot de consolation cependant : la capitale française  a gagné quatre places par rapport à l'année dernière. Une performance relative toutefois puisque Paris occupait la douzième place en 2020 et 2021.

    Sur les vingt villes/régions figurant dans ce classement, les Etats-Unis sont particulièrement bien représentés : outre la Californie et New York, on trouve Boston, Washington, Miami, Chicago, Seattle… Avec Londres, Paris, Amsterdam et Berlin, l'Europe parvient à placer quatre villes sur vingt étudiées. En dehors des Etats-Unis et de l'Europe, quelques villes particulièrement dynamiques figurent dans ce classement : Tel Aviv, Singapour, Pékin, Séoul, Tokyo et Shanghai.

    Le classement du Global Startups Ecosystem Report s'appuie sur des données provenant de 4,5 millions de jeunes pousses réparties dans 300 écosystèmes mondiaux et sur plus d'une décennie de "recherches indépendantes". Sont également prises en compte des données produites par des institutions publiques telles que les ministères.

     

     

     

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    La mise à disposition des décisions de justice en Open Data a vu le jour grâce à la loi pour une République numérique votée en 2016. Les articles 20 et 21 prévoient la mise en open data des quatre millions de décisions de justice produites chaque année par les tribunaux français. Camille Girard-Chanudet est chercheuse en sociologie au sein du Centre d’étude des mouvements sociaux. En 2023, elle a soutenu une thèse devant l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) : "La justice algorithmique en chantier, sociologie du travail et des infrastructures de l’intelligence artificielle". Dans ce cadre elle a rencontré les équipes de la Cour de cassation qui procèdent à l’anonymisation des décisions de justice.