Désormais facilement réexploitable, l’archive audiovisuelle est devenue un actif avec une réelle valeur ajoutée. Les structures détentrices de fonds reconsidèrent leur position quant aux modalités de conservation et de diffusion de ceux-ci, désireuses de les valoriser en interne, les rendre public ou même les exploiter commercialement.
Désormais facilement réexploitable, l’archive audiovisuelle est devenue un actif avec une réelle valeur ajoutée. Les structures détentrices de fonds reconsidèrent leur position quant aux modalités de conservation et de diffusion de ceux-ci, désireuses de les valoriser en interne, les rendre public ou même les exploiter commercialement.
En 2005, Agnès Callu et Hervé Lemoine publiaient Le patrimoine sonore et audiovisuel français. Guide de recherches en sciences sociales (Belin), dans lequel ils définissaient les archives audiovisuelles comme une « marée déferlante de documents en mutation technologique et technique permanente, associée au plus près du domaine sociétal ». Depuis l’avènement du numérique, l’audiovisuel investit en effet les sphères professionnelles comme personnelles. Cette sensibilité nouvelle aux usages de l’archive audiovisuelle touche notamment les domaines de la recherche, de la création et de la communication, séduits par l’impact de l’image animée et du son pour...
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