Lad + Ged + BPM +RM = ECM

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Historiquement, la Ged, ou gestion électrique des documents, est née au début des années 1980 et portait au départ exclusivement sur la gestion des documents numérisés. Les fournisseurs de ce marché étaient notamment les fabricants de scanners et les éditeurs de logiciels de reconnaissance et de Ged. La montée en puissance des scanners comme des ordinateurs, l’extension des fonctions logicielles ont érodé les frontières d’origine avec les autres briques des systèmes d’information des organisations. Représentative des utilisateurs et fournisseurs pour ce secteur d’activité, l’association américaine AIIM englobe désormais la Ged dans l’ECM. Selon elle, la gestion de contenu inclut l’ensemble des outils concernant les étapes de capture, de stockage, de gestion, d’archivage et de publication des contenus en liaison avec les processus métier. D’après cette définition, il faut donc inclure dans les outils d’ECM, les logiciels de capture (Lad, Rad, OCR, ICR, etc.), de gestion documentaire(Ged), de workflow, de BPM (businness process management), de records management, de web content management, de gestion des courriels, de collaboration, d’enterprise 2.0, de stockage des données et d’archives électroniques.

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Les podcasts d'Archimag
Êtes-vous prêts à renoncer à des services numériques ou à vos appareils électroniques pour le bien commun ? Face à l'urgence climatique, notre rapport au progrès et à la technologie est souvent remis en question. Archimag Podcast a rencontré Alexandre Monnin, philosophe, directeur du master Sciences, Stratégie et Design pour l’Anthropocène à l’ESC Clermont Business School et auteur de l'ouvrage "Politiser le renoncement", aux Éditions Divergences. Il est aussi co-initiateur du courant de la redirection écologique, dont il nous explique le principe.