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scanners à livre ouvert

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Protéger des ouvrages et permettre un accès en ligne, disposer en numérique d’un contenu écrit sur papier : derrière la nécessité de numériser, les motivations d’un achat de scanner répondent à des projets divers. L’offre est assez large pour correspondre à chaque besoin.

deux grandes familles de scanners se partagent l’essentiel du marché de la numérisation des livres. La première est celle des scanners dits patrimoniaux. De fonctionnement manuel, ces produits visent les livres anciens, précieux. Pour eux, on réclame un berceau qui accueillera le livre en respectant la reliure comme la variation de l’épaisseur au fur et à mesure que seront tournées les pages numérisées. Une vitre peut venir couvrir celles-si. On recherche aussi une résolution de qualité, à partir de 300 DPI (1), à laquelle participe un éclairage additionnel non agressif. De grands formats sont ici acceptés : A3+, A2, A1 et A0.

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Rencontre avec Stéphane Roder, le fondateur du cabinet AI Builders, spécialisé dans le conseil en intelligence artificielle. Également professeur à l’Essec, il est aussi l’auteur de l’ouvrage "Guide pratique de l’intelligence artificielle dans l’entreprise" (Éditions Eyrolles). Pour lui, "l’intelligence artificielle apparaît comme une révolution pour l’industrie au même titre que l’a été l’électricité après la vapeur".