Plus rapides, plus puissantes et offrant une meilleure expérience utilisateur : les nouvelles séries Kodak S2085f et S3000 n’ont rien à envier à leurs prédécesseurs, les i2900 et i3000, pourtant primées. Les innovations de Kodak Alaris présentent en effet des fonctionnalités multiples, en tête desquelles la possibilité de partage réseau, un traitement d’image intégré amélioré, un écran tactile couleur plus grand, des protocoles de sécurité professionnels améliorés, et un meilleur traitement des documents. Pour simplifier la numérisation, les utilisateurs peuvent même choisir, en option, un trajet « direct » du papier avec sortie par l’arrière. Idéal pour les documents plus épais et grand format.
Un portefeuille toujours plus large
Kodak Alaris ne s’est cependant pas arrêté en si bon chemin ! Le spécialiste des solutions de capture de documents a en effet lancé de nouveaux modèles : le scanner à 85 pages par minute (ppm) au format A4 Kodak S2085f, le scanner 100 ppm Kodak S3100f (A3), tous deux équipés de modules de numérisation à plat. Trois autres scanners A3 viennent s’ajouter à ces nouveautés, à savoir le Kodak S3060 (60 ppm), le Kodak S3100 (100 ppm) et le Kodak S3120 (120 ppm).
« La plupart des entreprises souhaitent fortement automatiser les processus métiers afin de gagner du temps et d’éliminer les erreurs. Mais quand il s’agit d’automatiser certains types de processus, comme ceux dans lesquels des informations sur papier doivent être entrées dans un processus numérique, les choses se compliquent. Les nouveaux scanners et logiciels de Kodak Alaris simplifient ce croisement, en fournissant aux clients un portail automatisé pour l’intégration des informations papier dans les flux de travail et les archives numériques », indique Lee Davis, directeur associé chez Keypoint Intelligence.
Info Input passe à la version 6
De son côté, Info Input, la solution d’extraction des informations issues de documents de Kodak Alaris, a elle aussi évolué, passant à une sixième version. Ses nouvelles fonctionnalités comprennent, entre autres, une classification et une séparation avancées des documents (permettant de réduire le besoin de préparation de deux-ci), et il est désormais possible de choisir le moteur cloud pour l’extraction et l’indexation des données (Google Vision AI, Amazon Recognition ou Microsoft Azure AI).
« La capture de documents est la première étape critique dans l’automatisation des processus métiers papier. De trop nombreuses organisations sont frustrées par les goulets d’étrangement créés par des scanners et des logiciels inefficaces qui ralentissent les processus métiers et augmentent les coûts. Il est important de supprimer les interventions manuelles inutiles lors du traitement des données pour économiser du temps et de l’argent. Cela garantit que les informations de valeur sont transmises efficacement aux systèmes commerciaux », conclut Don Lofstrom, PDG d’Alaris, division de Kodak Alaris.