La crise sanitaire que nous avons traversée et la réorganisation du travail qu’elle a imposée ont accéléré la prise de conscience des organisations en ce qui concerne la “matière noire” du travail. Comprenez toutes ces tâches réalisées de manière anarchique au sein de différentes applications asynchrones qui n’ont pas de réelle valeur ajoutée et ces communications faites tantôt par mail, tantôt par chat, tant en visio qui épuisent les collaborateurs et nuisent à leur efficacité. “Les organisations ont mis en place tout un tas d’applications afin de répondre aux besoins de leurs collaborateurs et des différents services, mais avec le travail hybride elles s’aperçoivent aujourd’hui que cet écosystème applicatif n’est absolument pas maîtrisé et que cette multiplication d’outils finit par complexifier leur travail”, explique Patrick Lalanne, RVP EMEA chez Wrike.
Á la recherche du temps perdu
Près de 14 heures seraient ainsi diluées chaque semaine par les collaborateurs dans cette fameuse “matière noire”. Ce travail, qui n’est absolument pas visible du management, n’est par ailleurs comptabilisé dans aucun reporting. “En corrélant cette matière noire au besoin de reconnaissance des collaborateurs, il semble évident que la question doit impérativement être traitée”, ajoute Patrick Lalanne. Sous peine de voir certains collaborateurs découragés et épuisés quitter le navire ou pire plonger en plein burn-out. Les collaborateurs contraints de répéter des tâches déjà réalisées, d’effectuer un travail inutile, de participer à des réunions improductives ou de compenser le manque d'informations émanant de collègues sont, en effet, les premiers à démissionner. Tout cela coûte des millions chaque année aux organisations. Et tant que cette matière noire du travail ne sera pas correctement appréhendée et maîtrisée, ces coûts ne pourront que croître.
S'appuyer sur une source d'informations unique
Si les organisations sont en train de rationaliser leurs outils par souci d'économie et de simplification du travail, de nombreux processus restent anarchiques. Il est plus qu’urgent de structurer ces processus et enfin de maîtriser cette “matière noire” du travail. Les organisations ont ainsi besoin d'une solution suffisamment puissante pour pouvoir gérer et orchestrer des flux de travail complexes, et suffisamment conviviale pour que les collaborateurs demandent à l'utiliser. C’est la promesse de Wrike, une plateforme logicielle qui permet de collaborer efficacement en structurant ce qui ne l’était pas jusqu’à présent.
Travailler de façon plus efficace
Mais la technologie ne résout pas tout. Si Wrike doit apporter de la valeur à chaque collaborateur, son déploiement implique un accompagnement afin de gérer le changement de façon constructive. “C’est, en effet, la somme de deux (la plateforme + la conduite du changement) qui fait le succès de l’adoption d’une telle plateforme. Wrike devient dès lors une véritable application métier dans laquelle les collaborateurs peuvent travailler de manière plus efficace, sortir de cette matière noire du travail et se reconcentrer sur ce qui a vraiment du sens”, conclut Patrick Lalanne.