Facebook, Myspace, Linkedin, Viadeo, Twitter…, les réseaux sociaux sont légion. Véritables boîtes à outils aux caractéristiques spécifiques, tant en terme de fonctionnalités que de modèle économique, leurs vertus pour la veille, le marketing et la médiation de l’information s’imposent progressivement. Lumière sur cette sortie du ghetto récréatif.
Facebook, Myspace, Linkedin, Viadeo, Twitter…, les réseaux sociaux sont légion. Véritables boîtes à outils aux caractéristiques spécifiques, tant en terme de fonctionnalités que de modèle économique, leurs vertus pour la veille, le marketing et la médiation de l’information s’imposent progressivement. Lumière sur cette sortie du ghetto récréatif.
Novembre 2008, une jeune femme suisse est licenciée par son employeur. Le motif ? Avoir mis à jour son profil Facebook pendant un arrêt maladie, obtenu à cause de migraines lui interdisant tout travail devant un écran. L’anecdote peut faire sourire – ou grimacer –, elle n’en est pas moins éloquente de l’attitude de la plupart des entreprises visà- vis des réseaux sociaux. Aux États-Unis, elles sont même plus de 75 % à bloquer leur accès. Alors, les réseaux sociaux seraient le nouveau péril pour la productivité. Et si c’était l’inverse ? Et si une utilisation cadrée les transformait en outil appréciable ? La question mérite d’être posée, ne serait-ce...
Cet article vous intéresse? Retrouvez-le en intégralité dans le magazine Archimag !