Les internautes plébiscitent Facebook, Youtube et Twitter

95 % des internautes français connaissent Facebook Archimag

 

Une enquête de l'IFOP analyse les taux de notoriété des réseaux sociaux auprès des internautes français.

Sans surprise, Facebook, YouTube et Twitter  figurent sur le podium des réseaux sociaux les plus connus des internautes français. Avec un taux de notoriété de 95 %, Facebook consolide sa place de réseau social préféré des Français suivi de Youtube qui enregistre un taux de 92 %. Quant à Twitter, malgré une notoriété en forte croissance (+ 5 points à 85 %) et une couverture médiatique bienveillante, il n'engrange pas les dividendes de sa visibilité : sa fréquentation ne s'est accrue que d'un point en un an. 

L'enquête réalisée par l'Observatoire des réseaux sociaux de l'IFOP montre également une progression des réseaux sociaux professionnels. Viadeo, connu de 27 % des internautes français, enregistre une hausse de 3 points et devance LinkedIn (25 % de notoriété) .

La plus forte progression est à mettre au crédit de Badoo qui, avec 11 points supplémentaires par rapport à 2010, affiche désormais un taux de notoriété de 34 %. En revanche, MySpace, dont la fermeture est programmée pour les mois à venir, voit sa cote retomber à 63 % (- 9 points).

Ces indices de notoriété de doivent cependant pas être confondus avec les taux de pratique réelle des réseaux sociaux. Selon l'IFOP, 77 % des internautes français déclarent être membres d'au moins un réseau social, un taux très légèrement inférieur à celui de 2010 (78 %).

 

Enquête IFOP réalisée auprès de 2 080 internautes du 18 au 27 octobre 2011.

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Êtes-vous prêts à renoncer à des services numériques ou à vos appareils électroniques pour le bien commun ? Face à l'urgence climatique, notre rapport au progrès et à la technologie est souvent remis en question. Archimag Podcast a rencontré Alexandre Monnin, philosophe, directeur du master Sciences, Stratégie et Design pour l’Anthropocène à l’ESC Clermont Business School et auteur de l'ouvrage "Politiser le renoncement", aux Éditions Divergences. Il est aussi co-initiateur du courant de la redirection écologique, dont il nous explique le principe.