Première source d’information des généalogistes, internet a transformé leur pratique en ce qui concerne l’accès aux archives d’état-civil et leur réutilisation. Vice-président de la Fédération française de généalogie (FFG) et président du Centre généalogique du Finistère, Jean-François Pellan s’explique sur les revendications des associations vis-à-vis des services d’archives départementales.
Première source d’information des généalogistes, internet a transformé leur pratique en ce qui concerne l’accès aux archives d’état-civil et leur réutilisation. Vice-président de la Fédération française de généalogie (FFG) et président du Centre généalogique du Finistère, Jean-François Pellan s’explique sur les revendications des associations vis-à-vis des services d’archives départementales.
Que pense la FFG de la législation sur les archives ?
Jean-François Pellan : La loi de 2008, d’une ouverture exceptionnelle, a été très appréciée par les généalogistes puisqu’elle a réduit les délais de consultation à 75 ans si la personne était décédée depuis plus de 25 ans.
Cependant, l’usage d’internet par les généalogistes, ainsi que l’affaire de Notrefamille.com (consulter l'article d'Archimag de septembre 2011) ont bouleversé la donne,...
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