D'abord sommée de s'expliquer sur les 41 000 euros de frais de taxis accumulés depuis sa prise de fonction, la présidente de l'Institut national de l'Audiovisuel Agnès Saal vient de déposer sa démission à la demande de la ministre de la Culture Fleur Pellerin.
Visée par une lettre anonyme, la PDG de l'Institut national de l'Audiovisuel (Ina) a été sommée de s'expliquer sur les 41 000 euros de frais de taxis accumulés depuis sa prise de fonction. La ministre de la Culture Fleur Pellerin ne souhaite pas en rester là.
Agnès Saal, présidente de l'Institut national de l'audiovisuel, s'est fixée trois objectifs pour "donner un nouveau souffle à l'Ina" : ouverture, innovation et modernisation.
L'Institut national de l'audiovisuel vient de recevoir les premiers lots de 267 "dictabelts" produits à l'occasion des procès de Nelson Mandela entre 1963 et 1964.
Les archives réclament elles aussi leur place au sein du paysage audiovisuel redessiné par l'arrivée de Netflix en France. En effet, l'Ina proposera dès mars 2015 un abonnement de vidéo illimité, comparable à celui du prestataire américain.
Agnès Magnien a été nommée Directrice déléguée des Collections de l'Ina et prendra ses fonctions le 1er septembre 2014. Son arrivé à l'Ina entraîne un changement de tête aux Archives nationales qu'elle dirigeait depuis 2011.
L'Ina lance un mini site indépendant, Les Tops de l'Ina, lequel propose aux internautes de voter sur les réseaux sociaux pour les meilleures archives vidéos constituant "La Grande Histoire" et "La Petite Histoire" de la télévision.
Agnès Saal a été nommée en Conseil des ministres à la direction de l'Institut national de l'audiovisuel. Elle prendra ses fonctions le 12 mai prochain.
Gilles Pécout a été nommé à la présidence de la Bibliothèque nationale de France au printemps dernier. Au micro de Bruno Texier, pour les podcasts d'Archimag, le nouveau président présente les grandes lignes de son programme à la tête de l'institution, notamment l'apport de l'IA dans le développement de nouveaux services.