9h30 - 10h30 : De la gestion documentaire à la gestion des connaissances ou comment permettre à une organisation de mieux partager l'information de référence à son écosystème
Après un zoom sur le marché du Knowledge Management, ses tendances, ses besoins, ses enjeux et ses outils, nous nous demanderont comment une gestion documentaire efficace (référencement, structuration de l’information…) permet une capitalisation, une valorisation et un partage optimal de la documentation de référence aux partenaires et collaborateurs d’une structure. Nous répondronts par ailleurs aux questions suivantes : Comment naît le besoin d’un outil de gestion documentaire au sein d'une organisation ? Que peut-on stocker dans cette base ? Quelle est la différence avec une GED ? Qui peut contribuer à ce type de plateforme ? Les documentalistes seuls ? Et comment mettre ces connaissances à disposition des autres collaborateurs ? Comment donner de la visibilité à la production interne de l’organisation ?
Antoine Larré, Product Evangelist, Alfeo ; Pierre Mariot, Consultant Owner, Keolio Consulting
11h-12h : Symbiose entre veille stratégique et base de connaissances : les meilleures pratiques
Avant de créer une base de connaissance, il faut collecter de l’information que ce soit en interne, sur le web, etc., partout où elle est disponible. Il faut ensuite traiter cette information pour la structurer (tags manuels, text mining, thésaurus, etc.) et l'enrichir avec de la data. Ensuite, comment rendre la base de connaissances recherchable ? Comment proposer des parcours de recherches qui ont du sens ? Comment être certain de retrouver rapidement les documents clés ? Comment diffuser et valoriser ses données et sa veille ? Avec quelles possibilités d’automatisation et d'interfaçage ?
Louis-Marc Perez, Directeur Général Adjoint Ixxo ; Marion Batteux, Product Manager Kentika
14h-15h : Face à l’infobésité, comment acquérir et traiter finement l’information ?
Internes ou externes, les quantités d’informations sont pléthoriques. Comment parvenir à en tirer de la valeur ? Grâce à sa méthode, le veilleur parvient à sourcer l’information utile, structurée ou non, sachant s’affranchir des problèmes divers de désinformation, et en étant préalablement apte à comprendre ou anticiper les demandes de ses commanditaires. Pour l’exploitation des résultats, la mutualisation de la veille avec notamment les business analysts et les spécialistes est à l’ordre du jour. Bien sûr, cette approche comprend un volet technologique. Il faut en particulier savoir ce que l’on peut attendre d’une intelligence artificielle. Nombre de solutions au service de la veille, de la gestion des connaissances ou de l’innovation y recourent. Reliées à toutes sources utiles, elles sont capables d’appréhender de très importants volumes d’informations. Largement automatisées, elles fonctionnent avec des technologies linguistiques, du machine learning et de l’intelligence artificielle. Leurs apports sont nombreux avec en particulier l’extraction de données et l’enrichissement des métadonnées. Pour offrir, in fine, un data catalog ou une expérience de recherche totalement renouvelée.
Avec Frédéric Martinet, consultant-expert, Actulligence ; Eric Frances, directeur commercial, Expert.ai ; Stéphane Jotic, cofondateur, Zeenea
15h30 - 16h30 : Veilleurs : Que vaut vraiment votre veille ?
Les TPE, PME, ETI et grands comptes ont-ils la même vision du marché ? Les mêmes besoins ? A quel besoin la veille répond-t-elle ? Quel ROI en attendre ? Comment mesurer son efficacité, sa diffusion, son spectre, etc. ? Avec quels KPI ? Comment impliquer et motiver les collaborateurs pour l’enrichir et partager leurs informations ? Comment développer le collaboratif ? Comment rendre votre veille interactive ? Avec la présentation de deux cas client.
Avec Marina Bellot, experte en veille et responsable du pôle Scope Veille Augmentée chez Actualis ; Sabrina Gatnaoui, spécialiste Europresse chez Cision ; Odile Quesnel, responsable des projets Europe de l’Ouest chez Cision
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