Si le web est un gisement de données incontournable, les recherches renvoient souvent une liste de résultats impressionnante. Dont la plupart ne sont que du bruit. Pour limiter ce dernier, l’approche est différente selon que l’on soit veilleur ou dirigeant, particulièrement dans le cadre d’une démarche d’intelligence économique.
Si le web est un gisement de données incontournable, les recherches renvoient souvent une liste de résultats impressionnante. Dont la plupart ne sont que du bruit. Pour limiter ce dernier, l’approche est différente selon que l’on soit veilleur ou dirigeant, particulièrement dans le cadre d’une démarche d’intelligence économique.
Que les analystes ou les dirigeants qui ne souffrent pas de surinformation sur le web – sans parler du courriel – se lèvent ! Les volumes d’informations disponibles sur le web sont supérieurs à nos capacités cognitives pendant une recherche d’information en temps limité, même équipés de puissantes machines informatiques et de logiciels performants. Malgré ce constat général, on ne distingue pas clairement les moyens mis en oeuvre contre la surabondance d’information en particulier dans le domaine de l’intelligence économique en France. Aujourd’hui, le discours dominant consiste à dire qu’il faut traiter l’information – l’accepter, la prendre, la...
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