C’est une tendance avérée et revendiquée, les bibliothécaires voient de plus en plus s’ajouter à leurs prérogatives une activité de service auprès des usagers. Mais que motive cette évolution ? Sur quels biais, quels modèles, quels outils s’appuie-t-elle ? Et quelles formes ces fameux services adoptent-ils ? Pour ces nouveaux bibliothécaires, qui ne sont pas tout à fait confrontés aux mêmes problématiques selon qu’ils évoluent en lecture publique ou universitaire, se pose également la question des compétences requises.
C’est une tendance avérée et revendiquée, les bibliothécaires voient de plus en plus s’ajouter à leurs prérogatives une activité de service auprès des usagers. Mais que motive cette évolution ? Sur quels biais, quels modèles, quels outils s’appuie-t-elle ? Et quelles formes ces fameux services adoptent-ils ? Pour ces nouveaux bibliothécaires, qui ne sont pas tout à fait confrontés aux mêmes problématiques selon qu’ils évoluent en lecture publique ou universitaire, se pose également la question des compétences requises.
À la bibliothèque Fiolstræde de Copenhague, aux côtés des rayonnages de partitions musicales, trône, les bras tendus, un véritable mini studio d’enregistrement : guitares électriques, basses, claviers, percussions, amplis, casques et consoles. Extrêmement répandue dans les pays scandinaves, la possibilité de s’exprimer et de prolonger en terme d’usages l’offre documentaire constitue une tendance de fond dans le monde des bibliothèques. À Londres, depuis près de dix ans, les « idea stores » vont encore plus loin et proposent en libre-service et sept jours sur sept des prestations allant de la garderie au soutien scolaire, en passant par la formation continue, les...
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