Il fut un temps où archivage physique et numérique désignaient deux métiers différents. Avec l’explosion de la dématérialisation et de la production de documents nativement électroniques, la quasi-totalité des tiers archiveurs du marché proposent les deux types de prestations. La question du choix d’un prestataire polyvalent se pose donc plus que jamais.
Il fut un temps où archivage physique et numérique désignaient deux métiers différents. Avec l’explosion de la dématérialisation et de la production de documents nativement électroniques, la quasi-totalité des tiers archiveurs du marché proposent les deux types de prestations. La question du choix d’un prestataire polyvalent se pose donc plus que jamais.
Commencé lentement au cours des années 1960 pour s’amplifier ces dernières années et plus encore depuis la loi du 16 juillet 2008 sur la conservation des archives publiques par des sociétés de droit privé, le recours à l’externalisation des archives s’accroît. Il représente en France un marché estimé à 250 millions d’euros et un taux de croissance annuel de plus de 10 % (1). Avec l’explosion de la production, native ou après dématérialisation, de données numériques à archiver, et...
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