Depuis plusieurs années, les bibliothèques déplorent une baisse des inscriptions et une diminution des emprunts de documents. Pour tout dire, les bibliothécaires ressentent une forme de désamour de la part d’un public qui préfère les écrans numériques aux livres stockés dans les rayonnages. Pour inverser la tendance, de nombreuses initiatives voient le jour en direction des publics étrangers, des seniors ou des jeunes. A Lyon, à Montreuil, en Savoie et Haute-Savoie, à Paris ou à Clamart, les bibliothécaires se mettent au diapason d’un public infidèle.
Depuis plusieurs années, les bibliothèques déplorent une baisse des inscriptions et une diminution des emprunts de documents. Pour tout dire, les bibliothécaires ressentent une forme de désamour de la part d’un public qui préfère les écrans numériques aux livres stockés dans les rayonnages. Pour inverser la tendance, de nombreuses initiatives voient le jour en direction des publics étrangers, des seniors ou des jeunes. A Lyon, à Montreuil, en Savoie et Haute-Savoie, à Paris ou à Clamart, les bibliothécaires se mettent au diapason d’un public infidèle.
Sommaire du dossier :
- Un public ? Non, six publics !
- Montreuil vise le public non francophone
- Actions différenciées pour les seniors
- Enfants : petits usagers, grand public !
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