L’image d’Épinal de l’open source strictement communautaire et non lucratif a vécu. Les logiciels libres, forts de leurs spécificités, génèrent aujourd’hui des revenus conséquents, partagés entre une multitude d’acteurs.
L’image d’Épinal de l’open source strictement communautaire et non lucratif a vécu. Les logiciels libres, forts de leurs spécificités, génèrent aujourd’hui des revenus conséquents, partagés entre une multitude d’acteurs.
« le logiciel libre est devenu moins communautaire et plus professionnel », écrivait en mars 2010 Pierre Audoin Consultants (PAC) dans une étude évaluant à 1,47 milliard d’euros la taille du marché français du logiciel libre en 2009. Pour ce cabinet, le logiciel open source « n’est plus vu comme un concept novateur, mais comme une technologie mature, proposée et utilisée par tous les acteurs du marché ». Une technologie qui se serait - « en grandissant » - fortement « hybridée » avec le logiciel propriétaire, et serait deplus en plus profitable. Mais pour qui ? Les signes de la montée en puissance des éditeurs open source sont palpables. Un...
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