Les cœurs informatiques des entreprises ont longtemps été décriés pour leur colossale consommation électrique. Aujourd’hui, des indicateurs permettent de détecter les équipements les plus énergivores et de réduire leur empreinte écologique.
Les cœurs informatiques des entreprises ont longtemps été décriés pour leur colossale consommation électrique. Aujourd’hui, des indicateurs permettent de détecter les équipements les plus énergivores et de réduire leur empreinte écologique.
C’est un peu l’histoire du verre à demi-plein ou à demi-vide. Le numérique contribue-t-il au développement durable ou, au contraire, génère-t-il un surplus de consommation d’électricité ? La question donne toujours lieu à de savantes batailles de chiffres.
Selon certains observateurs, les technologies de l’information et de la communication (TIC) seraient à l’origine de 2 à 3 % des émissions de dioxyde de carbone (CO2) dans le monde. On pourrait se réjouir d’un taux aussi bas, vu le nombre de secteurs professionnels qui utilisent l’informatique dans le cadre de leur activité. Mais 2 à 3 %, c’est aussi l’équivalent des émissions produites par le...
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