Sommaire du dossier :
- La gestion de contenu, toujours apte au service
- Alain Lebras : "L'ECM est mort, vive l'ECM !"
- Du content management au content services
- Altera Cogedim pose de nouvelles fondations
- 7 conseils pour vos projets d'ECM
Le groupe immobilier a choisi d’appuyer progressivement toute sa gestion documentaire sur un socle technologique Everteam, enrichie de plusieurs solutions d’éditique ou encore de signature électronique...
Rompu à la gestion de grands programmes immobiliers (commerces, logements et bureaux), le groupe Alterea Cogedim – qui est à la fois une foncière de commerce et un promoteur immobilier – vient de se lancer dans...
...un projet informatique particulièrement ambitieux. Il s’agit du déploiement d’une nouvelle infrastructure applicative en mesure de gérer électroniquement l’ensemble des documents brassés quotidiennement par ses quelque 1 400 collaborateurs.
A l’issue d’un appel d’offres lancé en juillet 2016, Flatirons Jouve (anciennement Jouve) s’est vue confier la responsabilité de l’accompagner dans la mise en œuvre de cette nouvelle infrastructure documentaire, qui doit progressivement se substituer aux autres systèmes de gestion documentaire existants et permettre au groupe de sécuriser la sauvegarde et l’archivage de tous les documents « engageants » pour in fine fluidifier les échanges de données avec les utilisateurs finaux, au travers de portails dédiés.
Socle Everteam
La société de services précise qu’elle compte dans un premier temps concentrer ses efforts sur la mise en œuvre d’un workflow et d’un socle de Ged et d’archivage basé sur les solutions d’Everteam. Le déploiement débutera sur la partie commerciale (plus de 400 types de documents différents sont gérés par l’entreprise), avant d’être progressivement étendu aux autres entités.
Au-delà de l’intégration, Flatirons Jouve se chargera aussi de l’hébergement des données et du déploiement d’outils complémentaires, interfacés avec le socle de gestion documentaire. L’installation d’un logiciel d’intégration de données (EDI, pour « échange de données informatisé ») et de solutions d’éditique et de signature électronique est déjà envisagée. Et ce, afin d’automatiser et de dématérialiser un nombre toujours plus important de processus et d’opérations.