Les fonctions d’indexation automatique des documents ne sont utilisées que par deux tiers des organisations françaises. C’est ce que révèle la deuxième édition de l’enquête de Kodak Alaris, éditeur de solutions de capture d'informations et de traitement intelligent des documents (IDP), réalisée en partenariat avec Archimag, sur les pratiques de numérisation et de capture de documents au sein des organisations françaises.
Une statistique révélatrice de la progression de ces dernières dans leur transformation numérique, bien qu’elles continuent de dépendre largement des copieurs multifonctions pour la numérisation. En effet, plus de la moitié des répondants de l’enquête (200 participants) numérise un document, pour l’envoyer sur leur boîte mail et le stocker sur leur ordinateur.
Scanners : la solution ?
Si deux tiers des organisations utilisent des fonctions d’indexation automatique des documents, seulement 52 % sont interfacées avec une solution métier. De plus, l’extraction automatique des données ne représente que 48 % des pratiques des répondants.
Paradoxalement, ces trois fonctionnalités permettent un gain de temps et limitent les mauvaises manipulations. Selon Kodak Alaris, les organisations équipées de scanners peuvent bénéficier d'un large éventail d’usages avancées, telles que l'indexation automatique des documents et l'intégration de la capture dans les processus métier.