Selon certaines estimations, le coût d’une signature manuscrite s’élèverait à quatre euros. Difficile de savoir si la signature électronique permet de réduire ce prix, mais les solutions multiplient les innovations et s’adaptent à la mobilité.
Selon certaines estimations, le coût d’une signature manuscrite s’élèverait à quatre euros. Difficile de savoir si la signature électronique permet de réduire ce prix, mais les solutions multiplient les innovations et s’adaptent à la mobilité.
Plus de dix ans après la publication des premiers textes réglementaires, la signature électronique poursuit son développement, mais à un rythme modeste. Si les entreprises sont de plus en plus nombreuses à y recourir, le grand public ignore souvent jusqu’à son existence. « Aujourd’hui, la signature électronique apparaît bien comme un outil parfaitement adapté pour les usages de communautés restreintes d’utilisateurs préalablement connus, constate Arnaud Belleil, directeur marketing de Cecurity, un éditeur de logiciels de coffres-forts électroniques ; c’est pour ce type d’applications que son déploiement est appelé à se poursuivre à un rythme soutenu ».Cet article vous intéresse? Retrouvez-le en intégralité dans le magazine Archimag !