Le community manager à la loupe !

Le community manager type, une jeune parisienne, âgée entre 26 et 35 ans Mandellia

 

Le jeudi 14 juin 2012, la seconde édition de l’e-rep day a donné lieu à une table ronde réunissant des community managers influents. C’est l’occasion de revenir sur ce métier émergent, à travers une enquête réalisée par RégionsJob, le Blog du modérateur et Anov Agency.

Intitulée « le profil type du community manager », l’enquête tente d’appréhender ce métier sur la base de 577 CM interrogés.

Cette profession comptabilise 48% d’hommes, et 52% de femmes. En 2011, 45% étaient des hommes et 55% des femmes. Cette profession s’oriente donc vers une quasi-parité malgré des écarts salariaux persistants entre les deux sexes. L’enquête précise que cette différence s’explique par l’ancienneté dans les entreprises. En effet, plus de la moitié des femmes sondées exercent ce métier depuis moins d’un an, contre 43% des hommes.

49.6% des community managers travaillent à Paris, 50.4% en province. Certains départements semblent être totalement désertés par la profession. C’est le cas de la Somme, où moins d’1% des community managers sondés exercent leur profession.

La majorité des community managers possèdent un niveau d’étude élevé : 52.7% ont un bac +5, 35% un bac +3 ou bac +4,  10% un bac ou un bac +2, 2% un bac ou un autre diplôme du même niveau ou inférieur et 0.5% n’ont aucun diplôme.

47% des community managers travaille en CDI, 17% en CDD, 13% sont des stagiaires ou exerce en freelance, 5% sont étudiants, 3% sont sans emploi et 2% sont bénévoles.

Mais alors, qui se cache derrière le community manager type ? Une jeune femme, âgée entre 26 et 35 ans, travaillant à Paris. Titulaire d’un bac +5, elle exerce sa profession depuis moins d’un an, en CDI.

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Rencontre avec Stéphane Roder, le fondateur du cabinet AI Builders, spécialisé dans le conseil en intelligence artificielle. Également professeur à l’Essec, il est aussi l’auteur de l’ouvrage "Guide pratique de l’intelligence artificielle dans l’entreprise" (Éditions Eyrolles). Pour lui, "l’intelligence artificielle apparaît comme une révolution pour l’industrie au même titre que l’a été l’électricité après la vapeur".