Au mois de février 2011, la société Atos annonçait sa décision de supprimer le courrier électronique. Trois ans plus tard, les 77 000 collaborateurs n’utilisent plus le mail… en interne. Les réseaux sociaux d’entreprise ont pris la relève. En revanche, la méthode classique continue d’être employée pour communiquer avec l’extérieur.
Au mois de février 2011, la société Atos annonçait sa décision de supprimer le courrier électronique. Trois ans plus tard, les 77 000 collaborateurs n’utilisent plus le mail… en interne. Les réseaux sociaux d’entreprise ont pris la relève. En revanche, la méthode classique continue d’être employée pour communiquer avec l’extérieur.
Souvenez-vous, c’était au mois de février 2011. Thierry Breton annonçait une mesure radicale : « Renoncer à l’usage des emails dans les trois ans. » Le PDG d’Atos déclarait alors : « Je pense que nous sommes le seul groupe de notre dimension à avoir pris une telle décision. »
La nouvelle fit sensation et se répandit comme une traînée de poudre dans les entreprises : faut-il interdire le courrier électronique en raison de son caractère chronophage ? « Oui ! », soutenaient les contempteurs de cette « pollution informationnelle moderne », qui accapare l’attention des salariés et entraîne « des pertes de productivité ». « Non ! »,...
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