Virginie Clayssen réunit deux façons d’être, deux rapports au monde a priori antinomiques : d’un côté « un goût pour la programmation, la technologie, le computing et, de l’autre, une inclination à la rêverie, au rapport à la langue, à l’intelligence sociale ». Installée dans son bureau d’une sobriété à toute épreuve, au neuvième étage de la tour surplombant la place d’Italie à Paris, la manager du développement numérique chez Éditis sort de sa sévérité de façade et, se confiant, dévoile les signes de ce mariage d’intérêts. Par exemple, elle blogue régulièrement, mais pas comme une geek : « Je blogue avant tout car j’aime écrire....
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