Dans les années 90, les navigateurs web proposaient aux internautes de mémoriser leurs pages préférées dans une catégorie baptisée « favoris » ou « signets ».
« Nous voici condamnés à recopier, régénérer, recycler, migrer, transcoder ou tout refaire depuis le début, dans un épuisant travail de Sisyphe » écrit Michel Melot dans sa préface à cet ouvrage exigeant consacré à la numérisation patrimoniale.
Les images seraient-elles les grandes oubliées des collections des bibliothèques ? Pour les auteurs réunis ici par Claude Collard et Michel Melot, poser la question c'est commencer à y répondre.
Un internaute confie, parfois sans en être conscient, de nombreuses et précieuses données personnelles aux opérateurs numériques : courrier électronique, photographies de vacances, dépôt de documents bureautiques, contacts de réseaux sociaux professionnels...
C'est une vérité qu'il est difficile de regarder en face : le déclin de la culture livresque en France est confirmée enquête après enquête depuis près de quarante ans. Les raisons de cette érosion sont autant sociales que technologiques.
Neutralité du net signifie « égal accès des internautes à tous les contenus, services et applications de la toile ». C’est un principe appelant à éviter toute discrimination d’accès.
Dans une note de bas de page, Frédéric Beigbeder prévient : « Premier bilan après l'apocalypse n'est téléchargeable sur a
Les documentalistes sont habitués à s'interroger sur leur métier et la façon de le pratiquer à l'heure de la révolution numérique. Parmi eux, les professeurs-documentalistes doivent, en plus, intégrer la spécificité d'une double identité professionnelle...
Les usagers de Facebook consacrent plus d'une demi-heure par jour à naviguer sur ce réseau social qui compte plus de 600 millions d'inscrits : « C'est bien plus que pour n'importe quel autre service du web », précise Dominique Cardon dans la préface de cet ouvrage collectif.
Les documentalistes et, dans une moindre mesure, les bibliothécaires sont de plus en plus nombreux à animer des sites internet ou des blogs collaboratifs pour donner de la visibilité à leurs activités.
Ce troisième et dernier tome constitue la pierre finale d'un édifice ambitieux : recenser les lieux, les personnalités, les techniques et les mouvements culturels qui ont façonné l'histoire du livre.
Le journalisme de bases de données a de quoi interpeller les professionnels de l’infodoc : il y est question de collecte, de vérification, de traitement et de diffusion de l’information.
Cet ouvrage roboratif commence par détruire un mythe : Google a une forte tendance à surestimer le nombre de résultats annoncés pour chaque recherche. Ainsi la saisie du mot « élasticimétrie » donne lieu à 2 010 pages de résultats...
L'année 2012 pourrait tenir en deux évènements pour Twitter : la réélection de Barack Obama et les Jeux olympiques de Londres.
Augmenter le PIB européen de 5% et créer jusqu’à 3.8 millions d’emplois dans les huit prochaines années grâce au numérique, c’est le nouvel objectif de la Commission européenne.
Les archives produites par le ministère de la Défense représentent plus de 380 kilomètres linéaires répartis sur onze sites en France. Tous les hommes et toutes les femmes ayant servi sous les drapeaux ont fait l’objet d’un dossier nominatif.
Avec l’apparition des moteurs de recherche, les internautes ont d’abord cru que l’accès à l’information allait devenir aussi facile que de cliquer sur une souris. On sait ce qu’il advint.
Dimitri Mouton est animateur de plusieurs groupes de travail auprès de la Fédération nationale des tiers de confiance (FNTC).
Les professionnels de l’information-documentation se posent souvent la question : pour qui travaillons-nous ? Question essentielle à l’heure où les accès à l’information sont disponibles à domicile, au travail et, finalement, partout grâce à la mobilité.
