l’accès à la loi par les technologies modernes - du Minitel à Internet

Viennent les fêtes de fin d’année et tombent quantités d’articles se penchant sur les douze derniers mois ou les douze prochains et proposant bilans, tendances et palmarès. Jouons : pour vous, dans notre domaine de l’information, quel est le mot de l’année 2012, quel sera celui de 2013 ?

Apparu il y a moins de dix ans, le terme de folksonomie (indexation collaborative libre) désigne une pratique documentaire de plus en plus répandue : l’internaute attribue lui-même des mots-clés à des documents numériques afin de mieux les retrouver plus tard.

De 2002 à 2008, le prêt de phonogrammes dans les bibliothèques municipales françaises est passé de 30 millions à 13 millions.

L'Union européenne vient, à son tour, de lancer son portail Open Data. Des milliers de "données publiques ouvertes de la Commission européenne" sont désormais rassemblées sur ce portail multilingue.

Les premiers jalons du mouvement du libre accès furent posés en 2001 à l’occasion de l’Open Access Initiative de Budapest. Deux ans plus tard, la Déclaration de Berlin élargissait ce libre accès au domaine des sciences humaines.

Au cœur de la polémique ayant embrasé la communauté des chercheurs au printemps 2012, Elsevier a vu ses 2 000 revues boycottées par 12 000 universitaires, à travers la pétition en ligne The Cost of knowledge, jugeant « exorbitant »

« Je me souviens », la devise du Québec, symbolise la mémoire collective de ses habitants.

Indexant l’ensemble des documents issus des collections numériques françaises, le portail Gallica s’étoffe d’une nouvelle bibliothèque numérique scientifique, Hydraulica.